l'être humain
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L'Être
humain
Au commencement, Dieu créa
Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son
espèce, et tous les reptiles de la terre selon leur espèce. Dieu vit que
cela était bon.
Puis Dieu dit: Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance,
et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur
le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur
la terre.
Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa
l’homme et la femme.
Dieu les bénit, et Dieu leur dit: Soyez féconds, multipliez, remplissez
la terre, et l’assujettissez; et dominez sur les poissons de la mer, sur
les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre.
Et Dieu dit: Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et
qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du
fruit d’arbre et portant de la semence: ce sera votre nourriture.
Et à tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se
meut sur la terre, ayant en soi un souffle de vie, je donne toute herbe
verte pour nourriture. Et cela fut ainsi.
Eternel! tu me sondes et tu me connais,
Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma
pensée;
Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes
voies.
Car la parole n’est pas sur ma langue, Que déjà, ô Eternel! tu la connais
entièrement.
Tu m’entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.
Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop
élevée pour que je puisse la saisir.
Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?
Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t’y
voilà.
Si je prends les ailes de l’aurore, Et que j’aille habiter à l’extrémité
de la mer,
Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.
Si je dis: Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière
autour de moi;
Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le
jour, Et les ténèbres comme la lumière.
C’est toi qui as formé mes reins, Qui m’as tissé dans le sein de ma mère.
Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes
œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.
Mon corps n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.
Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.
Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand!
Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m’éveille, et je suis encore avec toi.
Psaume 139

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