Introduction
Dans les articles précédents, je vous ai parlé du péché,
de la conscience que nous devons avoir de sa gravité et de la nécessité
d'en être délivré. Cela se fait par le pardon, concernant notre
culpabilité, et aussi par l'Esprit de vie en Jésus-Christ qui nous
affranchit de la domination que le péché exerce sur nous. C'est toujours
ce dernier point qui nous cause le plus de souci car concernant le
pardon nous sommes confiants dans la fidélité et la miséricorde de Dieu
notre Père céleste qui nous pardonne en Jésus-Christ, tandis que pour la
délivrance nous faisons l'expérience amère de la rechute et nous
cherchons en vain le moyen d'échapper au pouvoir de la tentation. Nous
connaissons hélas par nous-mêmes la réalité de la parole de Jésus :
«
... l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible. » Marc 14.38
Malgré notre désir intérieur, trop souvent nous succombons à
l'attrait de la séduction du péché, comme l'écrit encore l'apôtre Paul :
« Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal
est attaché à moi. Car je prends plaisir à la Loi de Dieu, selon
l’homme intérieur ; mais je vois dans mes membres une autre loi, qui
lutte contre la Loi de mon entendement, et qui me rend captif de la Loi
du péché, qui est dans mes membres. Misérable que je suis ! Qui me
délivrera du Corps de cette mort ? … » Romains 7.21-24
Certes,
l'apôtre proclame la délivrance que Dieu nous accorde en Jésus-Christ,
mais nous sommes obligés de reconnaître que nous ne savons ou ne pouvons
pas toujours demeurer en permanence dans cette glorieuse vérité à cause
notre faiblesse.
Couper
Jésus donne en quelques mots une
instruction concernant nos comportements vis à vis des occasions de
chutes, c'est à dire dans des situations propices au péché.
« Si ton pied est pour toi une occasion de chute, coupe-le ; mieux vaut pour toi entrer boiteux dans la vie, que d’avoir les deux pieds et d’être jeté
dans la géhenne, dans le feu qui ne s’éteint point. Et si ton œil est pour toi une occasion de chute, arrache-le ; mieux vaut pour toi entrer
dans le royaume de Dieu n’ayant qu’un œil, que d’avoir deux yeux et d’être jeté dans la géhenne, où leur ver ne meurt point, et où le feu ne s’éteint point. » Marc 9.45-48
Ces paroles souvent mal comprises
indiquent une solution radicale vis à vis du péché : »couper« l'occasion de chute, c'est-à-dire se séparer de ce qui nous entraine au péché.
Les occasions de chutes ne sont pas forcément les mêmes pour tous, chacun est attiré par ce qui en lui est le plus sensible à la
sollicitation du péché.
« Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise. » Jacques 1.14
Ce que Jésus
enseigne c'est que ce qui produit l'occasion de commettre le péché doit être coupé et éloigné, quel que soit son importance dans notre vie ou
l'attachement que nous y portons et cela peut être douloureux. Par des exemples soigneusement choisis, le Seigneur désigne des choses qui
sont à nous, en nous : un œil, une main, un pied. Donc ce n'est pas une chose extérieure à notre nature, mais une partie de notre être qui est sensible au péché, à nos convoitises charnelles qu'il sollicite. Nous
allons relire tranquillement les paroles de Jésus, dans une autre version de la Bible, afin d'en tirer le maximum d'enseignement :
« Si
ta main entraîne ta chute, coupe–la ; il vaut mieux que tu entres
manchot dans la vie que d’aller avec tes deux mains dans la géhenne,
dans le feu qui ne s’éteint pas. Si ton pied entraîne ta chute,
coupe–le ; il vaut mieux que tu entres estropié dans la vie que d’être
jeté avec tes deux pieds dans la géhenne.
Et si ton œil entraîne ta
chute, arrache–le ; il vaut mieux que tu entres borgne dans le Royaume
de Dieu que d’être jeté avec tes deux yeux dans la géhenne, où le ver ne
meurt pas et où le feu ne s’éteint pas. » Marc 9.45-48
La première
chose que nous remarquons, c'est que le Seigneur parle de membres du
corps importants dont la séparation sera douloureuse et handicapante,
donc un choix difficile. Qui pourrait de bon cœur s'arracher un œil, se
couper une main ou un pied ? Nous comprenons qu'il s'agit de se
séparer de choses qui sont une source de convoitise dans notre vie,
auxquelles cependant nous sommes très attachés. Je suis toujours
frappé par le récit de la rencontre et de la lutte de Jacob avec Dieu,
lorsqu'il en ressort infirme.
« Jacob demeura seul. Alors un homme
lutta avec lui jusqu’au lever de l’aurore. Voyant qu’il ne pouvait le
vaincre, cet homme le frappa à l’emboîture de la hanche ; et l’emboîture
de la hanche de Jacob se démit pendant qu’il luttait avec lui.
Il dit
:
- Laisse-moi aller, car l’aurore se lève.
Et Jacob répondit :
- Je ne te
laisserai point aller, que tu ne m’aies béni.
Il lui dit :
- Quel est
ton nom ?
Et il répondit :
- Jacob.
Il dit encore :
- Ton nom ne sera
plus Jacob, mais tu seras appelé Israël ; car tu as lutté avec Dieu et
avec des hommes, et tu as été vainqueur.
Jacob l’interrogea, en
disant :
- Fais-moi je te prie, connaître ton Nom.
Il répondit :
- Pourquoi
demandes-tu mon nom ?
Et il le bénit là. Jacob appela ce lieu du nom
de Peniel : car, dit-il, j’ai vu Dieu face à face, et mon âme a été
sauvée. Le soleil se levait, lorsqu’il passa Peniel. Jacob boitait de
la hanche. » Genèse 32.2-31
Dès la première ligne de ce récit, nous
remarquons une rencontre personnelle d'un homme avec Dieu. C'est ce qui
est le plus important dans la vie d'un vrai croyant, un face à face avec
le Seigneur, dans lequel tout est mis à plat, découvert, réglé et l'on
ne sort jamais indemne d'une telle expérience, du moins en ce qui
concerne notre nature charnelle, la nature du péché.
Jacob rentrait
dans son pays, selon ce que Dieu lui avait ordonné dans une vision :
« Je suis le Dieu de Béthel, où tu as oint un monument, où tu m’as fait
un vœu. Maintenant, lève-toi, sors de ce pays, et retourne au pays de ta
naissance. » Genèse 31.13
Cependant le contentieux qui existait entre
lui et son frère Esaü n'avait pas été réglé et Jacob avait peur, surtout
lorsqu'il apprit qu'Esaü venait à sa rencontre avec 400 hommes.
« Les
messagers revinrent auprès de Jacob, en disant :
- Nous sommes allés vers
ton frère Esaü ; et il marche à ta rencontre, avec quatre cents hommes.
Jacob fut très effrayé, et saisi d’angoisse. » Genèse 32.6
Alors Il
se tourna vers Dieu pour implorer son aide.
Jacob demeura seul
Il
y a des moments où nous avons besoin de nous tenir à l'écart dans la
réflexion. Nous ne réfléchissons pas assez souvent en solitaire et c'est
certainement une lacune. C''est dans ces moments où nous nous isolons
pour un examen sérieux de notre vie que nous pouvons faire le point sans
tricher, sans nous voiler la face en nous cachant derrière des excuses
faciles. Il est nécessaire de se retirer à l'écart de temps en temps,
seul, loin du bruit des autres qui nous sert souvent de refuge, dont
nous ressortons avec nos problèmes non résolus.
Alors dans sa
solitude, Jacob a vu venir vers lui un étrange visiteur. Un homme qui
vient se battre avec lui.
Nous pensons trop souvent que les
visitations de Dieu ont pour but unique de nous entourer de douceur et
de tendresse. Or, parfois, Dieu vient pour se battre avec nous, engager un
combat dans un but bien précis : changer notre façon de marcher, notre
manière de vivre. Si nous refusons cette lutte avec Dieu, nous
continuerons notre chemin de peurs, de craintes et de défaites. Mais si
nous luttons jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'il nous bénisse, nous en
sortirons différents, peut être avec un handicap naturel, mais avec une
victoire spirituelle.
Jésus a livré un grand combat dans le jardin
de Gethsémané avant d'affronter le croix et l'ignominie et il en est
ressorti déterminé et victorieux de l'effroyable tentation du
renoncement à la souffrance et à la mort.
« C’est lui qui, dans les
jours de sa chair, ayant présenté avec de grands cris et avec larmes des
prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort,
et ayant été exaucé à cause de sa piété, a appris, bien qu’il fût Fils,
l’obéissance par les choses qu’il a souffertes ... » Hébreux 5.7
C'est un combat difficile parfois que de nous séparer de ce que Dieu
nous demande pour obéir à sa volonté de nous sanctifier, en coupant ce
qui nous entraine au Mal. Mais, tandis que notre être charnel frappé par
Dieu restera diminué, notre être spirituel sera affermi.
« Le soleil
se levait, lorsqu’il passa Peniel. Jacob boitait de la hanche. » Genèse
32.2-31
Quelle leçon : Peniel ... « j’ai vu Dieu face à face, et mon
âme a été sauvée. » Je vous l'écris souvent : »l'essentiel de notre
vie chrétienne, c'est une relation personnelle avec Dieu qui va
bouleverser et transformer notre façon de vivre. »Nos problèmes, les
contentieux que nous pouvons avoir avec Lui ou avec les autres, ne
peuvent réellement se régler que dans un face à face personnel et vrai
avec Dieu. C'est là que nous trouverons la solution, mais parfois nous
devrons y laisser une partie de nous-mêmes, couper ou laisser le
Seigneur couper ce qui nous entraine à la chute.
Couper et jeter
Nous manquons souvent d'intégrité concernant notre façon de vivre et les
choses que nous gardons, bien que nous sachions qu'elles ne plaisent pas
à Dieu.
Le Seigneur a dit à Abraham :
« Je suis le Dieu
Tout-Puissant. Marche devant ma face, et sois intègre. » Genèse 17.1
Cela nous concerne aussi. Nous devons marcher sous le regard de Dieu
avec droiture de cœur et pour cela il faudra couper et jeter loin de
nous ce qui ne lui plait pas. Cela peut être des relations qui nous
entrainent au Mal (1 Corinthiens 15.33) ou des habitudes que nous
entretenons, des lieux que nous fréquentons, des émissions télé que nous
regardons, des connections internet qui ouvrent la porte à l'impureté,
etc.
D'une manière générale, si nous sommes honnêtes avec le
Seigneur, nous découvrirons très vite ce dont nous devons nous séparer.
Mais la question est : Le voulons-nous vraiment ?
Parfois, nous nous
exposons imprudemment à la tentation alors que nous savons que nous
aurions des difficultés à résister. Il y a des situations dans
lesquelles nous nous plaçons parce que nous nous y plaisons. Notre être
charnel cultive souvent l'ambiguïté, une espèce de zone mi ombre mi
lumière.
Jésus dit que si notre esprit est bien disposé, la chair
demeure faible et qu'il est nécessaire d'être vigilant.
« Veillez et
priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation ; l’esprit est bien
disposé, mais la chair est faible. » Marc 14.38
Nous désirons dans
notre esprit marcher fidèlement avec le Seigneur, mais nous sommes
piégés par la faiblesse de notre chair devant les occasions de chutes.
C'est pourquoi nous devons nous tenir en garde contre ce qui peut nous
entrainer au Mal : couper et jeter, c'est-à-dire se séparer et
s'éloigner.
En réponse à une proposition du tentateur, Jésus a
répondu :
« Il est aussi écrit :
- Tu ne tenteras point le Seigneur,
ton Dieu. » Matthieu 4.7
Tenter Dieu, c'est le mettre au défi de
nous tirer d'une situation dans laquelle nous nous plaçons
volontairement ; c'est s'exposer sciemment à la chute.
« Ils furent
saisis de convoitise dans le désert, et ils tentèrent Dieu dans la
solitude. » Psaume 106.14
« Ne tentons point le Seigneur, comme le
tentèrent quelques-uns d’eux, qui périrent par les serpents. » 1 Corinthiens 10.9
L'apôtre Pierre écrit :
« Soyez sobres, veillez.
votre adversaire, le Diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui
il dévorera. » 1 Pierre 5.8
Le tentateur connait nos points faibles,
le défaut de la cuirasse, et il guette le moment favorable pour nous
surprendre et nous faire tomber. Il se sert de ce qui en nous est le
plus sensible à la tentation. Le péché exerce son attrait et sa
séduction sur notre chair et bien que nous en connaissions le danger,
nous manquons de vigilance et de rigueur à son égard.
Il est question
dans un texte de »la jouissance du péché", comme d'une chose à laquelle
on prend plaisir, ce que Moïse refusa, « aimant mieux être maltraité
avec le peuple de Dieu que d’avoir pour un temps la jouissance du péché
», il a choisi de prendre part aux souffrances du peuple de Dieu plutôt
que de jouir momentanément d’une vie dans le péché (Hébreux 11.25).
Aussi étrange que cela puisse paraître, le péché exerce sur nous une
force séduisante à cause du plaisir que nous y prenons, comme l'écrit
encore Paul décrivant ce duel qui se déroule en nous, la lutte de
l'esprit contre les désirs de la chair.
« Je trouve donc en moi cette
loi : quand je veux faire le Bien, le Mal est attaché à moi. Car je
prends plaisir à la Loi de Dieu, selon l’homme intérieur ; mais je vois
dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon
entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes
membres. » Romains 7.21-23
Alors nous comprenons aussi que pour avoir
le courage de couper et jeter au loin, d'éloigner ou de nous éloigner de
ce qui est une occasion de chute, il faut premièrement apprendre à ne
pas aimer le péché et son plaisir, et même à le haïr, comme il est écrit
:
« Vous qui aimez l’Éternel, haïssez le mal ! Il garde les âmes de
ses fidèles, Il les délivre de la main des méchants. » Psaumes 97.10
Quand Dieu coupe
Lorsque Jacob s'est rendu compte que la situation
était trop difficile pour lui seul, il s'est tourner vers le Seigneur et
sa vie a été changée : »j’ai vu Dieu face à face, et mon âme a été sauvée".
Il y a des choses qui sont trop difficiles, voire impossible à faire
nous-mêmes, pour lesquelles il faut demander à Dieu d'intervenir. Il
m'est arrivé bien souvent de dire au Seigneur : »Père céleste, viens
toi-même couper cette occasion de chute, éloigne-là, ferme la porte".
Et Il l'a fait.
Bien sûr, il faut être sincère et surtout ne pas
essayer de contourner l'obstacle que Dieu place entre nous et l'occasion
de chute, ne pas rouvrir la porte qu'Il a fermée. Or, lorsque le
Seigneur ferme le chemin, nous essayons souvent de contourner
l'obstacle, comme Balaam. Dieu dit à Balaam :
« Tu n’iras point
avec eux ; tu ne maudiras point ce peuple, car il est béni. » Nombre
22.12
Or un peu plus loin nous lisons :
« La colère de Dieu s’enflamma, parce qu’il était
parti ; et l’ange de l’Éternel se plaça sur le chemin, pour lui
résister. Balaam était monté sur son ânesse, et ses deux serviteurs
étaient avec lui. L’ânesse vit l’ange de l’Éternel qui se tenait sur le
chemin, son épée nue dans la main ; elle se détourna du chemin et alla
dans les champs. Balaam frappa l’ânesse pour la ramener dans le chemin
... »
Ce récit révèle une sorte de contradiction
dans l'attitude de Dieu :
« Dieu vint à Balaam pendant la nuit, et
lui dit : Puisque ces hommes sont venus pour t’appeler, lève-toi, va
avec eux ; mais tu feras ce que je te dirai. » Nombres 22.20
Je vous
en reparlerai dans une étude sur la personnalité de Balaam. Nous
connaissons la suite, l'entêtement de Balaam, la séduction qu'exerçaient
sur lui les dons du roi de Moab et sa triste fin.
« Parmi ceux que
tuèrent les enfants d’Israël, ils avaient aussi fait périr avec l’épée
le devin Balaam, fils de Beor. » Josué 13.22
L'apôtre Pierre parle
de certaines personnes qui ressemblent à Balaam :
« Après avoir
quitté le droit chemin, ils se sont égarés en suivant la voie de Balaam,
fils de Bosor, qui aima le salaire de l’iniquité, mais qui fut repris
pour sa transgression : une ânesse muette, faisant entendre une voix
d’homme, arrêta la démence du prophète. » 2 Pierre 2.15,16
Tellement
de choses ont été écrites pour notre instruction afin que nous soyons
vigilants et fermes. Quel que soit l'attachement et l'importance que
nous accordons à des choses ou des personnes, si elles sont des
occasions de chute, Jésus dit de nous en séparer et de nous en éloigner. Comprenons aussi, qu'il ne s'agit pas de couper avec ce qui est
voulu par Dieu dans nos vies et qui peut nous faire souffrir ou ce qui
nous déplait simplement parce que cela ne correspond pas à ce que nous
aimons ou voudrions, que ce soit des situations ou des personnes.
Les non croyants ne sont pas tous à éviter, comme l'écrit l'apôtre Paul
:
« Si un non-croyant vous invite et que vous vouliez y aller, mangez
de tout ce qu’on vous présentera, sans vous enquérir de rien par motif
de conscience. » 1 Corinthiens 10.27
A plus forte raison s'il s'agit
d'un conjoint :
« Aux autres, ce n’est pas le Seigneur, c’est moi qui
dis : -Si un frère a une femme non-croyante, et qu’elle consente à
habiter avec lui, qu’il ne la répudie point ; et si une femme a un mari
non-croyant, et qu’il consente à habiter avec elle, qu’elle ne répudie
point son mari. » 1 Corinthiens 7.12,13
Il s'agit donc de couper ce
qui est une occasion de chute et comme je l'ai écrit plus haut, ce sont
des choses qui sont »en nous".
Soyons donc obéissants et courageux.
« Prenez garde, frères, que quelqu’un de vous n’ait un cœur mauvais et
incrédule, au point de se détourner du Dieu vivant. Mais exhortez-vous
les uns les autres chaque jour, aussi longtemps qu’on peut dire :
Aujourd’hui ! afin qu’aucun de vous ne s’endurcisse par la séduction du
péché. » Hébreux 3.12,13
Conclusion
Couper et jeter n'est jamais
facile, lorsqu'il s'agit de choses auxquelles nous sommes attachés, mais
c'est indispensable pour vivre selon la pensée de Dieu et demeurer dans
son Royaume.
Que le Seigneur nous aide ensemble à triompher du Mal
par sa Grâce et avec son aide
« Que le Dieu de paix vous sanctifie
lui-même tout entiers, et que tout votre être, l’esprit, l’âme et le
corps, soit conservé irrépréhensible, lors de l’avènement de notre
Seigneur Jésus-Christ ! Celui qui vous a appelés est fidèle, et c’est
lui qui le fera. » 1 Thessaloniciens 5.23
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