Dieu a voulu dès le commencement établir et entretenir avec les êtres
humains une relation fondée sur la confiance, l'amour et la vérité mais
à cause du péché cette relation a été faussée et d'autres sentiments se
sont installés dans le cœur des hommes, dont la peur comme le dit Adam :
J'ai eu peur ! La Bible nous fait découvrir d'une part que Dieu ne
s'est pas découragé dans son dessein de restaurer la communion entre lui
et les humains et d'autre part que parmi ces derniers il y a toujours eu
des hommes et des femmes qui se sont efforcés d'être agréables à Dieu.
Mais cette démarche réciproque de Dieu et de l'être humain ne
s'improvise pas sur la base de nos propres pensées. Prenons comme
exemple les offrandes d'Abel et de Caïn. L'une fut agréée tandis que
l'autre n'obtint pas la faveur de Dieu. « Au bout de quelque temps,
Caïn fit à l’Éternel une offrande des fruits de la terre ; et Abel, de
son côté, en fit une des premiers-nés de son troupeau et de leur
graisse. L’Éternel porta un regard favorable sur Abel et sur son
offrande ; mais il ne porta pas un regard favorable sur Caïn et sur son
offrande. » Genèse 4.3 Nous en découvrons la raison en Hébreux : «
C’est par la foi qu’Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que
celui de Caïn ; c’est par elle qu’il fut déclaré juste, Dieu approuvant
ses offrandes ; et c’est par elle qu’il parle encore, quoique mort. »
Hébreux 11.4 La première chose par laquelle il est possible d'être
agréable à Dieu c'est la foi en Lui. « Or sans la foi il est
impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s’approche
de Dieu croie que Dieu existe et qu’il est le rémunérateur de ceux qui
le cherchent. » Hébreux 11.6 Il y a deux vérités importantes dans ce
passage : . Croire que Dieu existe; . Croire qu'il répond
favorablement à ceux qui le cherchent. C'est par la foi (Hébreux 11)
Les Écritures Saintes nous apprennent par de nombreux témoignages que
tous ceux qui ont établi une vraie relation avec Dieu, qui ont été
secourus, délivrés, sauvés, guéris et bénis par lui, l'ont été sur les
bases de la foi et non par la valeur de leur propre justice. Comme
Abel, Hénoch, Noé et tous ceux qui ont été agréables à Dieu,
Abraham a
été justifié par la foi. « Que dirons-nous donc qu’Abraham, notre
père, a obtenu selon la chair ? Si Abraham a été justifié par les
œuvres, il a sujet de se glorifier mais non devant Dieu. Car que dit
l’Écriture ? Abraham crut à Dieu et cela lui fut imputé à justice. »
Romains 4.1 « Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la
promesse de Dieu ; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à
Dieu et ayant la pleine conviction que ce qu’il promet il peut aussi
l’accomplir. C’est pourquoi cela lui fut imputé à justice. » Romains
4.20 Il en a été ainsi de David « De même David exprime le
bonheur de l’homme à qui Dieu impute la justice sans les œuvres :
Heureux ceux dont les iniquités sont pardonnées et dont les péchés sont
couverts ! Heureux l’homme à qui le Seigneur n’impute pas son péché !
» Romains 4.6 Ne commettons pas l'erreur de Caïn qui a pensé que le
fruit de son travail lui accorderait les faveurs de Dieu car c'est sur
le principe de la foi que l'offrande d'Abel fut agréée. « C’est par
la foi qu’Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de
Caïn ; c’est par elle qu’il fut déclaré juste, Dieu approuvant ses
offrandes ; et c’est par elle qu’il parle encore, quoique mort. »
Hébreux 11.4 « Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix
avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, à qui nous devons d’avoir eu
par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes et
nous nous glorifions dans l’espérance de la gloire de Dieu. » Romains
5.1 La foi est donc la première chose qui nous rend capables d'être
agréables à Dieu Voyez Abraham ! Son expérience a été identique à la
vôtre : il a fait confiance à Dieu et a pris ses paroles au sérieux,
c’est pourquoi il fut en règle avec Dieu : son acte de confiance lui a
valu d’être considéré comme juste. Ainsi, seuls ceux qui placent
toute leur confiance en Dieu sont les vrais fils d’Abraham... « ...
Par conséquent, tous ceux qui s’approchent de Dieu avec confiance et qui
se reposent sur lui ont part à la bénédiction de l’homme de foi que fut
Abraham. Ceux qui se remettent entre les mains de Dieu jouissent de la
faveur divine. » Galates 3.6-9 Par amour En introduction à cet
article, je vous ai dit que Dieu a voulu dès le commencement établir et
entretenir avec les êtres humains une relation fondée sur la confiance,
l'amour et la vérité. Il est est donc normal et conforme à la pensée
de Dieu que ceux qui ont cru en Lui et sont sauvés par la grâce du
Seigneur Jésus-Christ se préoccupent de ce qui lui est agréable et
s'efforcent de répondre au désir de Celui qui est devenu leur Père
céleste. Le sentiment qui nous anime n'est plus la peur du châtiment
mais l'amour pour Celui qui nous a aimés au point de donner son Fils
unique afin que nous ne périssions pas mais que nous ayons la vie
éternelle. "L’amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que
Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par
lui. Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu
mais en ce qu’il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime
expiatoire pour nos péchés." 1 Jean 4.9 « La crainte n’est pas dans
l’amour mais l’amour parfait bannit la crainte ; car la crainte suppose
un châtiment et celui qui craint n’est pas parfait dans l’amour. Pour
nous, nous l’aimons, parce qu’il nous a aimés le premier. 1 Jean 4.18
Une nouvelle relation est établie entre Dieu et nous en Jésus-Christ et
nous sommes entrés par la foi dans cette vie nouvelle dont les règles
fondamentales sont l'amour, la confiance et la vérité. C'est parce
que nous l'aimons que nous nous efforçons d'être agréables à Dieu en
cherchant à connaître ce qui lui plait afin de le pratiquer. Je lis
et j'entends çà et là, dans les églises, que l'on cultive une certaine
peur de Dieu, une forme de piété craintive et tremblante, en invoquant
quelques versets mal compris et sortis de leur contexte, comme celui-ci
: « Servez l’Éternel avec crainte et réjouissez-vous avec
tremblement. » Psaumes 2.11 La version du Semeur dit : «
Dans la
crainte, servez l’Éternel ! Et, tout en tremblant, exultez de joie ! »
Alors je pose la question comment être tremblant et exulter de joie ?
En lisant attentivement les Écritures nous remarquons que pour ceux ou
celles qui ont été les plus proches de Dieu leur relation avec lui était
empreinte d'un profond sentiment de respect appelé une "crainte
respectueuse" à cause de sa sainteté, de son élévation et de sa gloire
mais ils éprouvaient aussi pour Lui beaucoup d'amour. Ils lui
obéissaient et le servaient avec une grande joie, sans contrainte, avec
zèle c'est la signification de "avec tremblement", soit un zèle
empressé. Voici comment la version Parole de Vie traduit un texte
parfois mal compris : « Quand on aime, on n’a pas peur. L’amour
parfait chasse la peur. En fait, on a peur quand on attend une punition.
Celui qui a peur n’aime donc pas de façon parfaite ». 1 Jean 4.18
Ceux qui aiment vraiment Dieu n'ont pas peur de Lui mais ils le servent
avec joie et avec respect sachant que sa Parole exprime sa volonté avec
une autorité absolue. « C’est par la foi que Noé, divinement averti
des choses qu’on ne voyait pas encore et saisi d’une crainte
respectueuse, construisit une arche pour sauver sa famille ; c’est par
elle qu’il condamna le monde et devint héritier de la justice qui
s’obtient par la foi. » Hébreux 11.7 Cela étant établi, de nombreux
récits bibliques nous instruisent sur la façon dont des hommes et des
femmes ont été agréables à Dieu en croyant en Lui, en cherchant à le
mieux connaître, en se préoccupant de sa volonté et en mettant en
pratique ce qu'il leur avait ordonné. Dans le contexte général des
Écritures nous comprenons que l'amour pour Dieu est le sentiment qui
anime une piété véritable. « Puisque c’est un Royaume inébranlable
que nous sommes sur le point de recevoir, attachons-nous fortement à la
grâce qui nous est faite et témoignons à Dieu notre reconnaissance en le
servant de la manière qui lui est agréable, dans la soumission
respectueuse et la crainte (de lui déplaire) » Hébreux 12.28 Examiner
ce qui est agréable au Seigneur. La façon dont nous vivons a une
grande importance pour Dieu « Au reste, frères, puisque vous avez
appris de nous comment vous devez vous conduire et plaire à Dieu et que
c’est là ce que vous faites, nous vous prions et nous vous conjurons au
nom du Seigneur Jésus de marcher à cet égard de progrès en progrès. » 1
Thessaloniciens 4.1 Nous avons besoin d'être instruits au sujet de
ce qui plait à Dieu. Nous ne pouvons pas décider nous-mêmes de ce qui
est bon dans ce domaine et seules les Écritures Saintes sont la
référence car c'est en elles que Dieu révèle sa volonté.
« Examinez
ce qui est agréable au Seigneur ; et ne prenez point part aux œuvres
infructueuses des ténèbres mais plutôt condamnez-les. Car il est
honteux de dire ce qu’ils font en secret ; mais tout ce qui est condamné
est manifesté par la lumière car tout ce qui est manifesté est lumière.
C’est pour cela qu’il est dit : -Réveille-toi, toi qui dors, Relève-toi
d’entre les morts et Christ t’éclairera. Prenez donc garde de vous
conduire avec circonspection, non comme des insensés mais comme des
sages ; rachetez le temps car les jours sont mauvais. C’est pourquoi
ne soyez pas inconsidérés mais comprenez quelle est la volonté du
Seigneur. » Éphésiens 5.10ss Pratiquer la justice Lorsque l'apôtre
Pierre envoyé par le Saint-Esprit rendit visite à Corneille, un homme
pieux, il lui dit : « En vérité, je reconnais que Dieu ne fait point
acception de personnes mais qu’en toute nation celui qui le craint et
qui pratique la justice lui est agréable. » Actes 10.35
« Si
quelqu’un le respecte avec confiance et fait ce qui est juste, cette
personne plaît à Dieu. C’est vrai dans tous les pays. » Version Parole
de Vie J'attire votre attention sur cette traduction qui fait mieux
comprendre le sens de l'expression "la crainte de Dieu" qui n'est pas
"la peur", comme je l'explique plus haut. Par le prophète
Michée,
Dieu définit la façon de vivre de quelqu'un qui lui est agréable : «
On t’a fait connaître, ô homme, ce qui est bien ; et ce que l’Éternel
demande de toi, C’est que tu pratiques la justice, Que tu aimes la
miséricorde et que tu marches humblement avec ton Dieu. » Michée 6.8
Comme en écho l'apôtre Paul écrit : « Car le Royaume de Dieu, ce
n’est pas le manger et le boire mais la justice, la paix et la joie, par
le Saint-Esprit. Celui qui sert Christ de cette manière est agréable
à Dieu et approuvé des hommes. » Romains 14.1 Dans la prophétie de
Michée 6.8, il y a trois éléments que l'on retrouve dans ce que Dieu
attend de ceux qui croient Lui et en son Fils Jésus-Christ :
- Pratiquer la justice;
- Aimer la miséricorde;
- Marcher humblement avec Dieu.
Ce passage des Écritures a été pour moi, depuis le début de ma vie avec le Seigneur, comme une lampe qui montre le vrai chemin.
Hélas je n'ai pas toujours réussi à lui être fidèle mais j'y reviens
constamment. C'est une règle de vie très simple et à la portée de
chacun. le prophète Michée a reçu cette Parole de Dieu et nous l'a
transmise comme une ligne qui trace la route que Dieu veut que nous
suivions. Dieu par la bouche de ses serviteurs nous exhorte à une
forme de vie qui lui plait : « Psaume de David. O Éternel ! qui
séjournera dans ta tente ? Qui demeurera sur ta montagne sainte ? -Celui qui marche dans l’intégrité, qui pratique la justice
et qui dit la
vérité selon son cœur. Il ne calomnie point avec sa langue, Il ne
fait point de mal à son semblable et il ne jette point l’opprobre sur
son prochain. Il regarde avec dédain celui qui est méprisable mais il
honore ceux qui craignent l’Éternel ; Il ne se rétracte point, s’il fait
un serment à son préjudice. Il n’exige point d’intérêt de son argent
et il n’accepte point de don contre l’innocent. Celui qui se conduit
ainsi ne chancelle jamais. » Psaume 15 La Bible définit "le juste"
comme une personne qui a été justifiée et qui pratique la justice. La
première chose que nous apprenons c'est que nous ne pouvons être
justifiés de nos péchés que par la foi en Jésus-Christ. La seconde
c'est que si nous avons été justifiés, purifiés, par le sang de
Jésus-Christ, nous ne devons plus pratiquer le péché. « Petits
enfants, que personne ne vous séduise. Celui qui pratique la justice est
juste, comme lui-même est juste. Celui qui pèche est du diable car le
Diable pèche dès le commencement. Le Fils de Dieu a paru afin de
détruire les œuvres du Diable. Quiconque est né de Dieu ne pratique
pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui ; et il ne
peut pécher, parce qu’il est né de Dieu. C’est par là que se font
reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne
pratique pas la justice n’est pas de Dieu, non plus que celui qui n’aime
pas son frère ». 1 Jean 3.9ss Nous l'avons compris, pratiquer la
justice c'est s'éloigner du mal et faire le bien : « Venez, mes fils,
écoutez-moi ! Je vous enseignerai la crainte de l’Éternel. Quel est
l’homme qui aime la vie, qui désire la prolonger pour jouir du bonheur ?
Préserve ta langue du mal et tes lèvres des paroles trompeuses ; éloigne-toi du
Mal et fais le Bien ; recherche et poursuis la paix. »
Psaume 34.11ss Des offrandes agréables à Dieu Un autre mot est
souvent employé pour désigner les offrandes, c'est "les sacrifices".
Mais pour beaucoup il signifie une chose pénible, douloureuse,
contraignante. Il n'est plus question d'offrir des sacrifices pour la
purification de nos péchés car cela Jésus l'a fait une fois pour toutes,
selon la volonté de Dieu. « C’est en vertu de cette volonté que nous
sommes sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus-Christ, une fois
pour toutes. » Hébreux 10.9,10 Les sacrifices ou offrandes que nous
sommes exhortés à faire à Dieu, sont aujourd'hui très différents de ceux
qui sont énoncés dans la Loi de Moïse pour les Israélites, quoique nous
pouvons y voir des similitudes en ce qui concerne une démarche
spirituelle. « Ces sacrifices de la Loi mosaïque étaient souvent
offerts par obligation. Cependant, parfois un élan de zèle pour Dieu les
motivait. » Exode 35 Pour certains les sacrifices ou les offrandes
sont encore inspirés par le sentiment de gagner, mériter, payer.
Combien souvent n'avons pas entendu des prédicateurs dire : plus vous
donnerez plus Dieu vous bénira. C'est une forme de marchandage avec Dieu
dont le mobile n'est plus l'amour mais l'intérêt, comme Jacob avec cette
fameuse déclaration : « Jacob fit un vœu, en disant : Si Dieu est
avec moi et me garde pendant ce voyage que je fais, s’il me donne du
pain à manger et des habits pour me vêtir et si je retourne en paix à la
maison de mon père, alors l’Éternel sera mon Dieu ; cette pierre, que
j’ai dressée pour monument, sera la maison de Dieu ; et je te donnerai
la dîme de tout ce que tu me donneras. » Genèse 28.20 Dans la
Nouvelle Alliance avec Dieu par la grâce du Seigneur Jésus-Christ,
l'esprit de l'offrande est différent. L'amour en est le véritable
moteur. Lorsque nous aimons quelqu'un nous désirons lui faire plaisir
en lui offrant des choses qui lui seront agréables. Il en est ainsi à
l'égard de Dieu. Nous avons certainement besoin de prendre conscience de
la façon dont Dieu aime que nous lui montrions notre reconnaissance et
notre affection par des offrandes. Les offrandes faites selon
l'esprit du la Nouvelle Alliance avec Dieu en Jésus-Christ, expriment la
reconnaissance, la consécration, l'amour. Des offrandes de
consécration « Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de
Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à
Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. » Romains 12.1
« Vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une
maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des victimes
spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ. » 1 Pierre 2.5
Des offrandes de reconnaissance « C’est pourquoi, recevant un
Royaume
inébranlable, montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte
qui lui soit agréable. » Hébreux 12.28
Des offrandes de charité
"J’ai tout reçu et je suis dans l’abondance ; j’ai été comblé de biens,
en recevant par Epaphrodite ce qui vient de vous comme un parfum de
bonne odeur, un sacrifice que Dieu accepte et qui lui est agréable."
En parcourant les Écritures nous découvrons que nous pouvons plaire à
Dieu de bien des façons et que l'une des plus importante est
l'obéissance, comme en témoigne Jésus. « Celui qui m’a envoyé est
avec moi ; Il ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui
Lui est agréable. » Jean 8.29 Enfin une adoration vraie et
spirituelle est agréable à Dieu : « Les vrais adorateurs adoreront le
Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père
demande. Dieu est Esprit et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent
en esprit et en vérité. » Jean 4.23 Le psalmiste David a été un
adorateur agréable à Dieu : « Je célébrerai le nom de Dieu par des
cantiques, Je l’exalterai par des louanges. Cela est agréable à
l’Éternel. » Psaume 69.30 En terminant cette réflexion, il nous faut
remarquer que le fait d'être agréables à Dieu nous place dans une
situation de protection et de bénédiction : Sa présence manifeste
dans notre vie « Celui qui m’a envoyé est avec moi ; il ne m’a pas
laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. » Jean
8.29 L'exaucement de nos prières « Quoi que ce soit que nous
demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses
commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable. » 1 Jean 3.22
Son secours dans la tentation « Et j’ai trouvé plus amère que la
mort la femme dont le cœur est un piège et un filet et dont les mains
sont des liens ; celui qui est agréable à Dieu lui échappe mais le
pécheur est pris par elle. » Ecclésiaste 7.26
L'enlèvement lors de
l'avènement du Seigneur Jésus-Christ C’est par la foi qu’Enoch fut
enlevé pour qu’il ne vît point la mort et qu’il ne parut plus parce que
Dieu l’avait enlevé ; car, avant son enlèvement, il avait reçu le
témoignage qu’il était agréable à Dieu. Hébreux 11.5
Conclusion «
Que le Dieu de paix, qui a ramené d’entre les morts le grand Pasteur des
brebis, par le sang d’une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus, vous
rende capables de toute bonne œuvre pour l’accomplissement de sa
volonté et fasse en vous ce qui lui est agréable, par Jésus-Christ,
auquel soit la gloire aux siècles des siècles ! Amen ! » Hébreux 13.20

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