Dieu lointain, théorique ou Dieu proche ?
« Au Commencement Dieu créa les Cieux et la Terre … » Genèse 1.1
Ce sont les premiers mots de la Bible et, déjà, ils sont troublants : «
au Commencement… » Sachant que Dieu est l’Éternel, qu’Il n’a ni
commencement ni fin, de quel Commencement s’agit-il ? Et le Seigneur
Jésus qui déclare dans l’Apocalypse... : « Je suis l’Alpha et
l’Oméga, le Premier et le Dernier, le Commencement et la Fin. »
Apocalypse 22.13 ... sachant que le Christ est éternel, de quel
commencement et de quelle fin s’agit-il ? Le Commencement dont il est
question ici est le commencement de l’Histoire entre Dieu et les hommes.
Dieu n’a pas de commencement. Nous : si. Si nous sommes disciples de
Christ (si nous avons reçu Jésus comme Sauveur et Seigneur personnel),
nous sommes nés deux fois. La première fois lorsque nous sommes
sortis de la matrice maternelle avec beaucoup de souffrance. Une seconde fois, quand nous sommes nés de
nouveau. « 12Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient
en son Nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels
sont nés, 13non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté
de l’homme mais de Dieu. » Jean 1.12-13 Toute la Bible, la Parole de
Dieu, est l’Histoire entre Dieu et les hommes. On voit, au-travers des
récits bibliques (et ils sont nombreux !) que Dieu se révèle
progressivement à l’Humanité. Au
Commencement Comment tout a-t-il
commencé ? le projet a germé au sein de la Trinité : « (…) Faisons
l’homme à notre image, selon notre ressemblance… » Genèse 1.26
Quelqu’un a écrit que « DIEU A VOULU ELARGIR LE CERCLE DE CEUX
AUPRES DE QUI IL VEUT SE FAIRE CONNAITRE ET ETENDRE SON AMOUR SUR EUX ».
Lorsque Dieu créa l’homme et la femme (Adam = Adamah, « la glèbe »,
Ève
= Eva, « la vie »), la communion était parfaite, totale et permanente.
Tout a basculé le jour où l’homme et la femme ont voulu se faire Dieu et
décider eux-mêmes, de ce qui est Bien et de ce qui est Mal, en
transgressant le seul ordre de Dieu : « 16L’Éternel Dieu donna cet
ordre à l’homme : -Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ;
17mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la Connaissance du Bien et du
Mal car, le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement. » Genèse
2.16-17 Ce poison entré dans l’Humanité est appelé, dans la Bible,
le
péché. C’est cette force qui nous fait commettre le Mal qu’on ne veut
pas et qui nous empêche de faire le Bien qu’on voudrait.
 « Car je ne
fais pas le Bien que je veux, et je fais le Mal que je ne veux pas. »
Rom. 7.19 Dieu est Saint et le Mal doit être condamné, mais comment
séparer le péché, que Dieu déteste, du pécheur qu’Il aime ? Si je
prenais de la farine de blé et de la farine de sarrasin, que j’ajoutais
du lait, des œufs et du beurre, que je passais au mixer, puis que je
mettais tout ça au four, qu’après démoulage je vous demande : - «
maintenant, séparez le sarrasin du blé ! », vous diriez « impossible ».
Il en est de même avec le péché : il est constitutif de notre être. « Quand bien même tu pilerais l’insensé dans un mortier, au milieu des
grains avec le pilon, sa folie ne se séparerait pas de lui. » Proverbes
27.22 Le péché est une folie. Et ce péché nous pousse à nous rebeller
contre Dieu, en pensant « je suis assez grand pour décider de ce qui est
bon pour moi, je n’ai pas besoin de Dieu, je ne veux personne au-dessus
de moi ! » Le problème ici, c’est que chacun devient son propre petit
dieu, de son petit univers égocentrique ; et tous ces petits dieux
égocentriques règnent sur un petit royaume fait sur-mesure, où tout est
centré sur eux ; et ces petits dieux que nous nous faisons de nous-mêmes
ont des valeurs relatives à leurs petites personnes. Mes amis, si
nous n’avons que nous comme but dans la vie, que nous comme horizon, que
nous comme avenir : quelle misère !... N’est-ce pas le péché majeur
de tous les êtres humains, de toutes les époques ? Être orgueilleux au
point de vouloir être comme Dieu mais sans dépendre de Lui, sans se
soumettre à Lui ? Vous savez, pour être en mesure d’établir
clairement et sans conteste le Bien et le Mal, il vous faut être
parfait. Avoir une hauteur morale, une stabilité de caractère totale,
être irréprochable, être dénué de tout égoïsme, se hisser vers un Absolu
qui servira de référence pour dire « c’est Bien », « c’est Mal », sans
faire de favoritisme (je viens de décrire une partie du caractère de
Dieu). Ce n’est le cas d’aucune personne parmi nous. Le Mal est entré
dans l’Humanité et la communion avec Dieu a été perdue car on ne peut
pas porter le mal en soi et s’approcher du Dieu trois fois Saint
(infiniment Saint), c’est comme approcher une feuille de papier d’un
brasier. La fin de la Comminion, le début de
l'errance La Bible
nous rapporte qu’Adam et Eve ont été chassés du Jardin d’Eden et de la
Présence de Dieu, et qu’ils ont commencé une vie difficile, coupés de
Dieu, où ils ont connu la violence, l’insécurité, la fatigue, la
maladie, la vieillesse et la Mort. L’Histoire entre Dieu et les hommes
paraissait bien loin derrière… Adam et Ève eurent un fils,
Caïn, puis
un autre fils, Abel (ce dernier ayant été assassiné par son frère Caïn),
puis un autre fils, Seth, qui eut lui-même un fils,
Enosch. Et nous
lisons un verset important mais qui pourrait passer inaperçu :
 «
C’est alors que l’on commença à invoquer le Nom de l’Éternel. » Genèse
4.26 Les hommes et les femmes ont commencé à tourner leurs regards en
haut, vers la Demeure du Très-Haut. Le vide infini laissé par l’absence
de Dieu dans leur cœur appelait à renouer la relation avec le Créateur
de toute chose. « Il fait toute chose belle en son temps ; même Il
a mis dans leur cœur la pensée de l’Éternité, bien que l’homme ne puisse
pas saisir l’œuvre que Dieu fait, du commencement jusqu’à la fin. »
Ecclésiaste 3.11 Ce vide se fait encore sentir aujourd’hui. Si vous
vivez avec le sentiment qu’il vous manque quelque chose ou quelqu’un,
qu’il manque une pièce majeure au puzzle de votre vie, qu’il manque une
pièce à votre horloge, qu’il manque un sens général à votre existence,
ne cherchez plus : c’est la personne de Dieu qui vous manque.
Comment raccourcir la distance entre ici-bas et l'Infini ? Il existe deux
solutions :
- Soit je parviens à régler moi-même la culpabilité de
mon péché et à effacer tout ce qui me sépare de Dieu : ainsi sont nées
les religions. Les religions sont de mauvaises réponses à une bonne
question : « Comment se réconcilier avec Dieu ? »;
- Soit c’est Dieu
Lui-même qui vient à mon secours pour effacer mes fautes, me faire Grâce
et rétablir la communion avec Lui. C'est l'Evangile.
Première solution : régler le problème moi-même Un jour, lors d’un dîner, j’ai fait
une grosse
tâche de graisse sur ma cravate. J’ai demandé de l’eau chaude au
restaurant, trempé un coin de serviette dedans, j’ai bien tendu la
cravate avec mon autre main et j’ai délicatement frotté la tâche sur la
soie en décrivant des cercles. Avec succès. Mais je n’avais pas vu que
le pouce de mon autre main avait touché la sauce et que j’avais créé
une
autre tâche, bien pire que la première. Vouloir éliminer le péché de nos
vies, alors que nous sommes pécheurs, revient à vouloir nettoyer un
tissu sale avec des mains sales. « Nous sommes tous comme des
impurs et toute notre justice est comme un vêtement souillé ; nous
sommes tous flétris comme une feuille et nos crimes nous emportent comme
le vent. » Ésaïe 64.5 Je ne peux pas être mon problème et en même
temps ma solution. Albert Einstein a écrit :
« ON NE RESOUT PAS LES
PROBLEMES AVEC LES MODES DE PENSEE QUI LES ONT PROVOQUES. » Le
problème majeur, dans nos vies, n’est pas ce que nous faisons :
c’est ce
que nous sommes, parce que c’est ce que nous sommes qui nous fait faire
ce que nous faisons. Dit autrement, ce n’est pas parce qu’un jour nous
avons commis un péché que nous sommes devenus pécheurs. C’est parce que
nous sommes pécheurs que nous péchons. Des pécheurs, des personnes
déchues, ayant à lutter toute leur vie contre le Mal. Nous sommes comme
des soldats assiégés dans leur forteresse dont l’ennemi est déjà à
l’intérieur des murs. Cette solution de fonctionne pas. On ne peut
pas se sauver soi-même ; Deuxième solution :
c'est Dieu Lui-même qui vient à nous pour nous sauver Dans ce deuxième scénario, c’est Dieu
Lui-même qui décide de prendre en charge le problème du péché pour nous
réconcilier avec Lui. Pour cela, Il doit se faire connaître à nous et
s’approcher de nous. Une révélation
progressive Dieu n’est
jamais resté muet. Pour que les hommes comprennent ce qu’Il veut faire,
on voit, au-travers de toute la Bible, comment Dieu se révèle
progressivement à l’Humanité. On peut suivre dans les récits de la Bible
le cheminement de cette révélation progressive. 1. Dieu a d’abord
choisi un homme : Abram, devenu Abraham ; 2. Dieu a choisi un peuple
: le peuple juif à la tête duquel il plaça Moïse ; 3. Dans le
désert, Dieu a choisi de se révéler dans le Tabernacle et, dans ce
Tabernacle, Il a choisi d’apparaître dans le Lieu très Saint, derrière
le voile ; 4. Puis Dieu a choisi une terre, Canaan, la terre
promise, pour que son peuple s’y établisse ; 5. Puis ce peuple est
devenu une nation : Israël ; 6. Au sein de ce pays, Dieu a choisi une
tribu et un territoire : Benjamin
et, dans ce territoire, Il a choisi Jérusalem pour y faire résider Son Nom ; 7. Dans la ville de
Jérusalem, Dieu a choisi l’ancienne cité de David pour y placer son
Temple, le Temple de Salomon ; 8. Dans ce Temple, constitué de trois
parties (le parvis, le lieu saint et le Lieu Très Saint), Dieu a choisi
de se révéler derrière le voile, dans le Lieu Très-Saint, aussi appelé «
le Saint des Saints » ; 9. Derrière le voile, Dieu a choisi de se
placer au-dessus de l’Arche d’Alliance, entre les chérubins aux ailes
déployées ; Le premier Temple a été détruit par les Babyloniens. Un
deuxième Temple fut construit. Mais, en l’an 70, ce deuxième Temple a
été détruit par les armées romaines du général Titus sur les ordres de
l’empereur Pompée. L’Arche de l’Alliance et tous les ustensiles du
service sacré ont disparu, le Temple a été rasé, Jérusalem a été
incendiée, le peuple juif dispersé (la Diaspora) et, pendant des
siècles, on n’a jamais su où était situé l’emplacement du Temple de
Salomon… LA REVELATION ULTIME Il a subsisté un Temple par lequel
Dieu s’est pleinement révélé. Un Temple que les hommes n’ont pas pu
détruire. Le plus important, le plus majestueux, le plus grand : Dieu a
choisi de se révéler, de se faire pleinement connaître, par Jésus de
Nazareth, Son Fils unique. « 2Dieu, dans ces derniers temps, nous a
parlé par le Fils, qu’il a établi héritier de toutes choses, par lequel
il a aussi créé le Monde et qui, étant le reflet de sa gloire et
l’empreinte de sa personne (…) 3a fait la purification des péchés et
s’est assis à la droite de la Majesté divine dans les lieux très hauts,
... » Hébreux 1.2,3 Il est le Messie, le Sauveur du Monde. Il est
La
solution de Dieu au problème du Péché. Jésus savait que le Temple de
Jérusalem serait rasé. Il avait déclaré à ses disciples que, de ce
Temple, il ne resterait pas « pierre sur pierre » que tout ne soit rasé.
Il avait également déclaré à ses opposants : « Détruisez ce temple et en
trois jours je le relèverai ». Il parlait du Temple de son corps et de
sa résurrection à venir. Alors que Dieu aurait pu nous effacer d’un
seul coup, nous condamner, nous détruire irrémédiablement, Il a fait
tout le contraire : Il a pris sur Lui le châtiment qui nous revenait.
Pour ne pas avoir à nous frapper, il a choisi de frapper quelqu’un
d’autre. Quelqu’un qui serait notre représentant. Quelqu’un qui
assumerait seul le poids de notre responsabilité. Quelqu’un qui
détournerait la colère de Dieu sur lui-même pour que nous n’ayons pas à
la subir. Quelqu’un qui porterait la mort qui nous revient. Ce
quelqu’un, c’est Jésus de Nazareth. Il est l’incarnation de la Personne
de Dieu. Dieu a choisi de prendre forme humaine pour se faire connaître
à nous et subir la crucifixion qui est la sanction visible du péché. Il
est dit que Jésus a été fait « péché » pour nous. Jésus a été comme une
éponge toute neuve, toute belle et pure, avec laquelle toute la crasse
du Monde a été absorbée. Ecoutez bien cette déclaration : Jésus est
le dernier mot de Dieu. Il n’y aura personne d’autre. Il n’y a pas plus
grand ; il n’y a pas plus éclatant. Le but du sacrifice de Jésus ?
Rétablir la communion avec Dieu, telle qu’elle était en Eden.
Pourquoi raconter cette histoire ? Pourquoi vous avoir raconté toute cette
histoire ? Parce qu’elle se déroule depuis des millénaires, qu’elle
court au-travers des siècles, et qu’elle aboutit aujourd’hui à toi. Dieu
a fait tout cela pour que tu te réconcilies avec Lui, pour que tu vives
l’Éternité avec Lui. Je dois ajouter encore une chose : le parcours
de révélation n’est pas terminé. Jusqu’à présent, j’ai parlé de Dieu : «
Dieu a dit… », « Dieu a fait… », « Dieu pense…
», « Dieu est Saint… », «
Dieu est Juste… », etc. Mais ces descriptions sont encore assez
distantes de nos vies. Nous les trouvons dans des dictionnaires de
Théologie, à la lettre « D », comme Dieu. C’est une chose de dire «
Dieu
» et c’en est une autre chose de dire « mon Dieu ». Le but de ce
texte
et que vous fassiez entrer Dieu dans votre histoire afin que vous
entriez dans l’Histoire de Dieu. LE DIEU DE MON HISTOIRE Il faudra
du temps, beaucoup de temps, pour que les hommes disent « mon Dieu ». Le
serviteur fidèle d’Abraham, Eliezer dit souvent «
le Dieu de mon
seigneur Abraham… » mais Abraham ne l’a pas dit. Dieu dit à
Abraham
qu’Il veut être son Dieu, à plusieurs reprises… « J’établirai mon
alliance entre Moi et toi et tes descendants après toi, selon leurs
générations : ce sera une alliance perpétuelle, en vertu de laquelle je
serai ton Dieu et celui de ta postérité après toi. » Genèse 17.7
Jacob, petit-fils d’Abraham, a négocié avec Dieu : «
20Jacob fit
un vœu, en disant : -Si Dieu est avec moi et me garde pendant ce voyage
que je fais, s’il me donne du pain à manger et des habits pour me
vêtir, 21et si je retourne en paix à la maison de mon père, alors
l’Éternel sera mon Dieu. » Genèse 28.20-21 Cela ressemble à une
transaction commerciale et il n’y a pas beaucoup d’amour là-dedans. Plus
tard, Jacob continuera de dire « le Dieu de mon père Abraham, le Dieu de
mon père Isaac … ». Pendant tout ce temps, Dieu ne cesse de parler de «
son Peuple… ». « Je vous prendrai pour mon peuple, je serai votre
Dieu et vous saurez que c’est Moi, l’Éternel, votre Dieu, qui vous
affranchis des travaux dont vous chargent les Égyptiens. » Exodus 6.7
La première apparition de l’expression « mon Dieu » se trouve dans le
cantique de Moïse : « L’Éternel est ma force et le sujet de mes
louanges ; c’est Lui qui m’a sauvé. Il est mon Dieu : je
Le
célébrerai ; Il est le Dieu de mon père : je L’exalterai. » Exodus 15.2
Il en a fallu du temps ! MAIS MAINTENANT
Comment passer de « Dieu
» à « mon Dieu » ? Dieu s’est approché de nous en la personne de son
fils, Jésus. Approchez-vous de Lui et Il s’approchera de vous.
Recherchez Sa Présence dans la prière. Cherchez à le connaître en lisant
Sa Parole. Si vous éprouvez des difficultés à prier, ne vous inquiétez
pas : Dieu connait toutes les langues, Il sait même ce que signifient
vos soupirs profonds, vos larmes. Participez aux réunions de prière de
l’église. Si vous êtes timides, écoutez les autres s’adresser
à Dieu et reproduisez les prières avec vos propres mots. Si vous avez du
mal à lire la Bible, participez à un groupe de maison où les textes
seront expliqués. Si tu t’es repenti de ta vie passée, de tes péchés,
et que tu as reçu le plein pardon de Dieu en recevant Jésus dans ta vie
comme Sauveur et Seigneur, tu as reçu le Saint-Esprit. Son rôle est de
te faire connaître Jésus, de te révéler le Père et de développer ton
histoire avec Lui. De même que Dieu souffla un souffle de vie dans les
narines d’Adam pour qu’il devienne une âme vivante, Dieu a insufflé son
Saint-Esprit dans chacun de ses enfants pour qu’ils deviennent des
esprits vivants. Il y a trop de chrétiens dans les églises locales
qui connaissent des personnes qui connaissent Christ. Il y a trop de
chrétiens qui sous-traitent leur vie spirituelle à d’autres : leur
pasteur, les anciens, des frères et sœurs, des ministères itinérants, …
La vie chrétienne ne se délègue pas : vous devez la vivre pleinement par
vous-même. Dieu veut continuer de se révéler au-travers de ta vie.
Tu es
une lettre vivante écrite, jour après jour, par la main de Dieu. Dieu
veut être ton Dieu. Pas le Dieu du dictionnaire. Il a une histoire à
écrire avec toi. Ecoutons ce que nous a promis Jésus : «
13Quand le
Consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute
la vérité ; car il ne parlera pas de Lui-même mais il dira tout ce qu’il
aura entendu et il vous annoncera les choses à venir. 14Il me
glorifiera, parce qu’il prendra de ce qui est à moi et vous
l’annoncera. 15Tout ce que le Père a est à moi ; c’est pourquoi j’ai dit
qu’il prend de ce qui est à moi et qu’il vous l’annoncera. » Jean
16.13-15 « Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, Toi,
le seul vrai Dieu et celui que Tu as envoyé, Jésus-Christ. » Jean 17.3
« Ce n’est pas pour eux seulement que je prie mais encore pour ceux
qui croiront en moi par leur parole. » Jean 17.20
Témoignage Je
termine avec un témoignage personnel, pour vous montrer à quel point Le
Seigneur est proche, attentif à nos vies, qu’Il connait tout de nous et
qu’Il nous aime. Il y a une quinzaine d’années, j’ai dû me
rendre à Lyon pour animer un stage de formation (c’est mon métier). La
cliente était exigeante et difficile (pour ne pas dire agressive). Je
devais impérativement commencer à 9h00. Je suis arrivé de Paris à Lyon
Pardieu, j’ai pris le métro et suis sorti dans un quartier ultra moderne
sans aucun nom de rue J’étais perdu et il était 8h50. J’ai prié Le
Seigneur de m’aider à trouver la bonne direction vers l’entreprise. J’ai
levé les yeux et j’ai vu une personne, sur l’autre trottoir qui marchait
dans ma direction. Je me suis dit « voilà ma réponse ! » J’ai traversé
la rue et, sur le trottoir d’en face, sur le mur juste en face de moi,
j’ai vu ceci :
 Ce n’est pas grand-chose mais pour moi, c’est énorme. Cela
veut dire que Dieu est attentif à ma vie jusque dans le détail. Il y a
un chant d’Exo dans lequel il est dit :
« Celui qui a créé les étoiles
sait aussi se pencher sur mes pas… » Veux-tu écrire ton histoire avec
Dieu ? Veux-tu que Dieu devienne le Dieu de ton histoire ?
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