Un Dieu de miracle

Dieu est un Dieu de miracles. Il l’est, l’a toujours été et le sera éternellement. Pour nous, les miracles sont surnaturels. Pour Dieu, c’est son naturel, son quotidien. Dire qu’il n’y a plus de miracles aujourd’hui, c’est affirmer que Dieu a changé de nature. « Christ est le même, hier, aujourd’hui, éternellement ». Ta conversion est un miracle. Ta nouvelle naissance est un miracle. La réception du Saint-Esprit dans ta vie est un miracle. C’est le plus grand de tous.

Dans Marc chapitre 16, Jésus déclare :

« Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon Nom ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, … ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris. »

Il y a ceux qui se sentent concernés par ce verset et qui croient aux signes et aux miracles pour notre temps et ceux qui n’y croient pas. Ces derniers sont souvent virulents pour défendre leur position. À ces derniers le pasteur Michel Allard répond : « pourquoi se mettre dans tous ces états ? C’est juste pour ceux qui auront cru. Si tu ne crois pas, cela ne t’arrivera pas. » Un proverbe déclare :

« Que ceux qui disent que c’est impossible n’empêchent pas ceux qui y croient de le faire… ».

De nos jours se reproduit une situation qui a existé du temps de Jésus. Dans Luc, nous lisons :

« Les scribes et les pharisiens observaient Jésus, pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat : c’était afin d’avoir sujet de l’accuser. » Luc 6.7

Les Pharisiens étaient convaincus que Jésus accomplirait un miracle. Ils avaient une forme de foi, malsaine, certes, mais incontestable. Thomas, son disciple, n’a pas cru à la résurrection. Les autres disciples non plus quand les femmes, revenant du tombeau vide, leur déclarèrent avoir vu Jésus vivant.

Il y a la foi cérébrale « je sais que… » et la foi du cœur « je crois que… ». C’est cette dernière qui nous met en mouvement dans le Royaume de Dieu.

Les Pharisiens, qui étaient témoins des miracles de Jésus et des délivrances qu’il accomplissait, les attribuèrent à Béelzébul pour refuser la divinité du Messie Jeshouah.

« … Cet homme ne chasse les démons que par Béelzébul, prince des démons. » Matthieu 12.24

C’est juste après que Jésus a donné un enseignement et un avertissement sur le péché contre Le Saint-Esprit qui ne peut pas être pardonné.

« 31C’est pourquoi je vous dis : Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera point pardonné. 32Quiconque parlera contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais quiconque parlera contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. » Matthieu 12.31,32

Alors, je vous pose la question :

Lorsqu’avec ma femme, nous avons prié pour Didier W. atteint de cinq cancers en phase 4 et que, 48 heures après, toutes les tumeurs et métastases avaient disparu, au point que les médecins ne parvenaient plus à situer au scanner les points noirs qui marquent l’emplacement des tumeurs. Ils n’avaient jamais vu cela : les tissus étaient transparents. Au nom de Jésus ou de Béelzébul ?

Ou Laurent E. qui devait être opéré à cœur ouvert deux jours après pour une nécrose des tissus du cœur, à qui j’ai imposé les mains en déclarant sa guérison au nom de Jésus : le lendemain, le chirurgien a procédé à un scanner de contrôle pour voir l’évolution de la nécrose et qui a déclaré : « Monsieur E., je ne sais pas comment vous l’expliquer mais il n’y a plus aucune trace de nécrose. Vous êtes guéri. Je libère le bloc opératoire. » Au nom de Jésus ou de Béelzébul ?

Faisons très attention à ne pas outrager l’Esprit de Vérité, en rejetant la manifestation des dons du Saint-Esprit dans l’Église.

Jacob

Il y ensuite ceux qui croient d’un pied et qui doutent de l’autre. Regardez le... la suite... Signature Thibault Cazeneuve 

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