Les hauts lieux
Avertissement
Cet article ne sera certainement pas compris ou même accepté par tous ceux
qui le liront. N'y voyez pas une agression volontaire de ma part,
mais simplement le souci d'éclairer et de mettre en garde contre des
pratiques acceptées par de nombreux "chrétiens" et qui troublent
beaucoup d'autres véritables disciples de Christ.
Que Dieu dispose le cœur de chaque lecteur et ouvre les yeux de tous afin
que la saine doctrine de Christ et la foi unique, celle de l'Evangile,
pour laquelle nous combattons soit victorieuse.
Les hauts lieux
Dans le vocabulaire profane l'expression indique un rang élevé dans la
société :"en haut lieu".
Dans la Bible il désigne des lieux que les peuples païens choisissaient
pour rendre un culte à leurs dieux. Ils y pratiquaient des
cérémonies au cours desquelles ils offraient des sacrifices divers, d'animaux et
même d'enfants.
Mais les nations firent chacune leurs dieux dans les villes qu’elles
habitaient, et les placèrent dans les maisons des hauts lieux bâties par
les Samaritains.
30 Les gens de Babylone firent Succoth-Benoth, les gens de Cuth firent
Nergal, les gens de Hamath firent Aschima, ceux d’Avva firent Nibchaz et
Tharthak; ceux de Sepharvaïm brûlaient leurs enfants par le feu en
l’honneur d’Adrammélec et d’Anammélec, dieux de Sepharvaïm. 2 Rois 12.29
Ces hauts lieux sont très souvent cités dans l'Ancien
Testament.
Si au début le peuple d'Israël s'était établi des hauts lieux pour offrir
un culte à l'Eternel, bien vite le Seigneur a interdit cette pratique.
Non seulement il l'interdit, mais Il ordonna expressément de
détruire les sanctuaires élevés par les habitants du pays dont les
Israélites allaient prendre possession.
L’Eternel parla à Moïse dans les plaines de Moab, près du Jourdain,
vis-à-vis de Jéricho. Il dit:
Parle aux enfants d’Israël, et dis-leur: Lorsque vous aurez passé le
Jourdain et que vous serez entrés dans le pays de Canaan, vous chasserez
devant vous tous les habitants du pays, vous détruirez toutes leurs
idoles de pierre, vous détruirez toutes leurs images de fonte, et vous
détruirez tous leurs hauts lieux. Nombres 32.52
Des hauts lieux aujourd'hui ?
Si on ne les n'appelle plus de ce nom, il existe dans le monde une
multitude de sanctuaires consacrés à la piété populaire dans toutes les
religions. On y vénère des personnages réels ou mythiques au cours de
cérémonies grandioses. Chaque religion a ses "hauts lieux" vers lesquels
affluent en pèlerinages des foulent nombreuse.
En voici quelques uns parmi les plus connus :
Les
pèlerinages musulmans
Les pèlerinages de l'islam sont le Hajj
(Grand Pèlerinage) et la Omra
(Petit Pèlerinage). Ils se déroulent l'un
et l'autre à La Mecque, mais pas au
même moment. La Omra a lieu pendant le mois sacré du
Ramadan, tandis que le Hajj s'effectue deux mois
après, lors du Waqf al-Arafa (jour de la rémission
des péchés).
Parmi les rituels, il faut contourner sept fois la
Kaaba, dans la cour de la mosquée du Haram. Le
pèlerinage à La Mecque fait partie des cinq
piliers de l'islam. Il doit être réalisé au
moins une fois, par tous les musulmans qui en ont
les moyens financiers. Chaque année, La Mecque
reçoit plus de deux millions de pèlerins.
Les fidèles se rendent aussi à Médine,
où est enterré Mahomet. C'est la seconde ville
sainte de l'islam, après La Mecque. Comme celle-ci,
elle est interdite aux non-musulmans.
Les
pèlerinages hindous
Plusieurs grands pèlerinages se déroulent chez les
hindous. Ils visent à délivrer du cycle des
réincarnations, pour atteindre la moksha (libération
finale de l'âme). Le pèlerinage du Chardham
Yatra (ou Chota Chardham) permet de se
rendre aux sources du Gange (fleuve
sacré) et de ses affluents. Il rassemble 4 lieux
saints en Inde du Nord : Badrinath, Kedarnath,
Gangotri et Yamunotri.
Autre circuit très suivi, le pèlerinage du
Chardham rassemble, aux quatre coins de
l'Inde, les demeures du dieu Vishnu. Elles se
situent à Puri, Rameshwaram, Dwarka et Badrinath.
Enfin, le pèlerinage de la Kumbhamela
(Fête de la cruche) se déroule tous les douze ans
sous la forme de Maha Kumbhamela (Grande Fête de la
cruche). Avec 75 millions de fidèles, c'est le plus
grand pèlerinage au monde. La prochaine Maha
Kumbhamela aura lieu en janvier-février 2013 à
Prayag (bain rituel dans le Gange et récitation de
textes sacrés). Les autres Kumbhamela se déroulent
tous les trois ans, à tour de rôle, dans les lieux
saints suivants : Nasik, Ujjain et Haridwar.
Les pèlerinages bouddhistes
Chez les bouddhistes, les pèlerinages sont associés
à la vie du prince Siddhartha Gautama.
Au Népal, Lumbini (lieu de
naissance du fondateur du bouddhisme) reçoit des
pèlerins toute l'année. Ils viennent prier dans
l'Aire du Jardin sacré, qui présente les ruines d'un
ancien temple, un pilier érigé au IIIe siècle avant
notre ère par l'empereur bouddhiste Ashoka, ainsi
qu'une sculpture montrant la naissance de Bouddha.
En Inde du Nord, Sarnath (lieu du
premier sermon de Siddhartha Gautama) accueille les
pèlerins, qui méditent auprès des sanctuaires Dhâmek
Stûpa et Chaukhandî Stûpa. Ils se rendent également
à Kushinagar (où est mort
Siddhartha Gautama, en atteignant le nirvana), pour
prier au Temple du Bouddha couché. Mais c'est
Bodh Gaya (lieu de la révélation
bouddhiste) qui reçoit le plus grand nombre de
pèlerins, notamment en mai, à l'occasion du Bouddha
Purnima.
Un pèlerinage africain très particulier
Chaque année, le 10 janvier, ils sont
des milliers d’initiés vaudous à célébrer sur la plage de Ouidah, au sud
du Bénin, les quatre divinités de la nature : l’air, le feu, l’eau et la
terre. En 1993, au lendemain de la chute du régime communiste béninois,
le président Nicéphore Soglo a institué la Fête du vaudou, célébrée
durant une semaine dans tout le pays. Apparu dans le royaume de Dahomey
(actuels Togo et Bénin), ce culte n’est pas précisément né à Ouidah.
Mais c’est de cette petite ville, jadis point de rassemblement de la
traite négrière de la côte sud de l’Afrique de l’Ouest, qu’il s’est
exporté jusqu’en Louisiane, au Brésil ou à Haïti, pour compter
aujourd’hui 50 millions de fidèles à travers le monde. Venus d’Afrique,
des Antilles, d’Europe ou des Etats-Unis, les adeptes du culte se
recueillent face à l’océan. Accompagnés de quelques touristes, ils se
rassemblent sur la plage de la Porte du non-retour, au pied du monument
du même nom, en mémoire du ballet incessant des bateaux qui partaient
pour le Nouveau Monde avec leurs chargements d’esclaves.
D'autres pèlerinages
Les
pèlerinages juifs
Nous l'avons compris, il n'est pas
question d'assimiler les fêtes d'Israël avec les pratiques païennes
décrites ci-dessus. Les fêtes juives sont conformes aux instructions et
aux ordres de l'Eternel donnés à Moïse pour Israël, pour toutes les
générations, jusqu'à l'avènement glorieux de son Messie : Yéshoua
Ha'Mashiah(Jésus le Messie)
Dans la
tradition judaïque, il existe trois fêtes
donnant lieu à des pèlerinages.
En mars-avril, la Pessah
(Pâque juive) commémore la sortie d'Égypte
du peuple hébreu.
En mai-juin, le Chavouot célèbre les dix
commandements donnés par Dieu à Moïse.
En
septembre-octobre, le Soukhot
commémore l'aide de Dieu reçue par le peuple
hébreu lors de sa sortie d'Égypte. Ces pèlerinages étaient très suivis avant la
destruction du Temple de Jérusalem.
Aujourd'hui, les croyants se rendent au
Mur des Lamentations pour
prier.
En Tunisie, il existe un pèlerinage
juif : le pèlerinage à la synagogue
de la Ghriba, suivi par 6 000
fidèles, chaque année au mois de mai. Située
sur l'île de Djerba, la synagogue de la
Ghriba fut construite au XIVe siècle. Selon
certains dires, des prêtres hébreux se seraient
installés à Djerba dès le VIe siècle avant
notre ère, suite à la prise de Jérusalem par
le roi babylonien Nabuchodonosor II.
Les
pèlerinages "chrétiens"
Mettons les choses au clair ! J'entre ici dans un domaine très
sensible en raison d'une grande confusion qui règne dans les milieux
dits "chrétiens". Cependant il est nécessaire de préciser la
nocivité spirituelle de certains comportements religieux.
Beaucoup attachent une importance
excessive à des sentiments qui relèvent souvent d'une forme de
superstition en donnant une valeur "sainte" aux lieux visités et aux
personnages invoqués.
Le pèlerinage
"chrétien" le plus ancien est
le pèlerinage en Terre sainte.
Dès le 2"me
siècle les pèlerins chrétiens voulurent visiter Jérusalem "la ville
sainte", qui a toujours exercé une sorte de fascination sur les
personnes familières avec la Bible. Sans nier l'intérêt tout à fait légitime que
l'on peut porter à ces lieux, il faut cependant en relativiser l'importance.
Grégoire de Nysse, théologien
grec de la seconde moitié du IVe siècle, évêque de Nysse en Cappadoce,
s'élevait avec vigueur contre l'engouement des pèlerins. Il
a écrit entre autre :
Lorsque le Seigneur appelle les
élus à l’héritage du royaume des cieux, il n’a pas compté le voyage à
Jérusalem parmi les bonnes actions.
Et
il rappela que "Le Saint-Esprit n’est pas plus abondant à Jérusalem
qu’ailleurs."
Ceci étant dit, je ne juge pas injustement ceux et celles qui s'y
rendent, mais je voudrais les mettre en garde contre une forme de "piété
sentimentale" !
C'est une grave erreur de considérer qu'il existe sur la terre des
"lieux saint" où la bénédiction de Dieu serait plus abondante
qu'ailleurs. Le Seigneur n'habite pas des lieux particuliers dans le
monde. Il est présent là où ceux qui l'invoquent se réunissent en son Nom.
Le
catholicisme a la particularité d'établir de nombreux "haut lieux",
comme des endroits où le surnaturel s'est manifesté et le
miraculeux se produit :
Le pèlerinage de Lourdes
attire six millions de fidèles
annuellement. Ils se rendent à la grotte de Massabielle,
dans l'espoir d'obtenir une guérison miraculeuse. Il s'agit d'un lieu
saint depuis le milieu du XIXe siècle. Bernadette Soubirous y aurait vu la Vierge
Marie lui apparaître.
Tout près de la grotte, se
trouve la fontaine "miraculeuse". Les pèlerins
boivent de son eau. Certains se baignent
rituellement dans les bassins aménagés à
côté.
Un autre lieu de pèlerinage renommé est celui où l'on
célèbre Notre-Dame de Fátima, le nom sous lequel est invoquée la Vierge
Marie qui serait apparue à trois enfants à Fátima,
petit village du centre du Portugal, à six reprises au cours de l'année
1917.
Un autre lieu de dévotion très fréquenté est la
basilique
Saint-Pierre du Vatican, où l'on
vient se
recueillir sur les tombes des apôtres Pierre
et Paul.
Citons aussi
Le pèlerinage de
Saint-Jacques de
Compostelle qui a pour origine la
découverte à Compostelle du tombeau de
l'apôtre Jacques. Il devient un grand
pèlerinage chrétien à la fin du XVe siècle.
Il est suivi chaque année par 200 000
croyants.
En Bretagne, région de France, connue
entre autre pour ses nombreux sites religieux, se déroule chaque année
le traditionnel pèlerinage à la basilique de Sainte-Anne d'Auray
consacré à Sainte Anne qui serait, disent les catholiques, la mère de la
vierge Marie et la grand-mère de l'enfant Jésus ! Les bretons y sont
très attachés et l'on y vient de partout par dizaines de milliers de
personnes.
Combien est grande la crédulité, ainsi
que l'esprit de superstition et d'idolâtrie des gens qui ne font pas
l'effort d'examiner à l'aide les Ecritures, Parole inspirée de
Dieu, si ce qu'on leur enseigne est la vérité !
Je
parle de quelques pèlerinages "chrétiens" bien connus en Europe, mais il
en existe de nombreux autres dans le monde : En Afrique, En Asie, En
Amérique, etc.
La
liste est longue de ces "haut-lieux chrétiens" ou l'on rencontre un
mélange de crédulité, de superstitions et de mysticisme. Outre la nature
idolâtre de cette piété, il s'y pratique un commerce florissant d'objets
et de choses "saintes" au pouvoir miraculeux !
Depuis toujours il a existé une
confusion et un mélange dans l'esprit de nombreuses personnes.
Ils craignaient aussi l’Eternel, et
ils se créèrent des prêtres des hauts lieux pris parmi tout le peuple:
ces prêtres offraient pour eux des sacrifices dans les maisons des hauts
lieux.
Ainsi ils craignaient l’Eternel, et ils servaient en même temps leurs
dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés. 2
Rois 17.32
De même les églises n'ont pas échappés
à cette séduction :
A Corinthe, l'apôtre Paul mettait les
disciples engarde contre l'idolâtrie. 1 Corinthiens 10.14
Le Seigneur a repris sévèrement les
responsables des églises qui toléraient le compromis.
Mais j’ai quelque chose contre toi,
c’est que tu as là des gens attachés à la doctrine de Balaam, qui
enseignait à Balak à mettre une pierre d’achoppement devant les fils
d’Israël, pour qu’ils mangeassent des viandes sacrifiées aux idoles et
qu’ils se livrassent à l’impudicité.
De même, toi aussi, tu as des gens attachés pareillement à la doctrine
des Nicolaïtes.
Repens-toi donc; sinon, je viendrai à toi bientôt, et je les combattrai
avec l’épée de ma bouche. Aocalypse 2.14
Mais ce que j’ai contre toi, c’est que
tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et
séduire mes serviteurs, pour qu’ils se livrent à l’impudicité et qu’ils
mangent des viandes sacrifiées aux idoles. Apocalypse 2:20
Séparez-vous
Je
m'étonne, et je ne suis pas le seul, que des "évangéliques"
s'associent à des prêtres catholiques dans des rassemblements
œcuméniques ou charismatiques, rendent visite au pape François, dans une
sorte d'allégeance ou du moins un
honneur rendu ! Soit ils sont aveugles, soit ils ne veulent pas voir la
réalité ou encore se justifient par des arguments tendancieux
invoquant les textes de la Bible qui les confortent.
Il y a cependant des évidences indéniables qui balaient toute
hésitation.
Devant un demi-million de personnes
rassemblées dans le sanctuaire de Fatima (Portugal), le pape François a
canonisé, samedi 13 mai, François et Jacinthe, deux des voyants à qui la
Vierge était apparue au même endroit, il y a tout juste cent ans.
Ce même pape dévoue une piété particulière à Sainte-Thérése de Lisieux
dans une pièce qui lui est consacrée au Vatican.
Je
sais, il parle "bien" de l'Evangile ! Mais ses actes de dévotions sont
plutôt tournés vers "la vierge" Marie" et les autres "saints et saintes"
du catholicisme !
Le clergé catholique, cardinaux, évêques, prêtres, moines, etc. est
soumis aux dogmes de l'église catholique entre autres la dévotions aux
personnages canonisés, déclarés saints et saintes, en particulier "la
bienheureuse et immaculée vierge Marie, la mère de Dieu" !
Peut-on s'associer aux mensonges religieux et à l'idolâtrie sans y
laisser une partie de son âme et peut être se perdre tout entier ?
Que vont donc chercher ceux qui se compromettent ainsi ?
Ces gens qui souvent sont auréolés de
la fonction pastorale portent une lourde responsabilité dans la
confusion qu'ils créent dans le cœur des
disciples du Seigneur Jésus-Christ.
Ne vous mettez pas avec les infidèles
sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et
l’iniquité? ou qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres?
Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial? ou quelle part a le fidèle
avec l’infidèle?
Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles? Car nous
sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit: J’habiterai et je
marcherai au milieu d’eux; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple.
C’est pourquoi, Sortez du milieu d’eux, Et séparez-vous, dit le
Seigneur; Ne touchez pas à ce qui est impur, Et je vous accueillerai.
Je serai pour vous un père, Et vous serez pour moi des fils et des
filles, Dit le Seigneur tout-puissant.
Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute
souillure de la chair et de l’esprit, en achevant notre sanctification
dans la crainte de Dieu. 2 Corinthiens 6.14
C’est pourquoi, mes bien-aimés, fuyez
l’idolâtrie. 1 Corinthiens 10.14
Les disciples de Jésus-Christ ne doivent pas s'associer avec n'importe
qui. Certes, ils sont dans le monde et nous sommes amenés à être en
relation avec les gens du monde pour les affaire du monde. Mais en ce
qui concerne les choses du royaume de Dieu nous devons être très clairs,
comme l'écrit l'apôtre Paul : :
Je vous ai écrit dans ma lettre de ne
pas avoir des relations avec les impudiques, -
non pas d’une manière absolue avec les impudiques de ce monde, ou avec
les cupides et les ravisseurs, ou avec les idolâtres; autrement, il vous
faudrait sortir du monde.
Maintenant, ce que je vous ai écrit, c’est de ne pas avoir des relations
avec quelqu’un qui, se nommant frère, est impudique, ou cupide, ou
idolâtre, ou outrageux, ou ivrogne, ou ravisseur, de ne pas même manger
avec un tel homme.
Qu’ai-je, en effet, à juger ceux du dehors? N’est-ce pas ceux du dedans
que vous avez à juger?
Pour ceux du dehors, Dieu les juge. Otez le méchant du milieu de vous.
Concernant le Royaume de Dieu, ceux du
dedans, nous avons la responsabilité de juger les comportements, les
enseignements, les doctrines, et de décider et d'agir en conséquence
selon la doctrine de Christ, ses paroles.
... afin que nous ne soyons plus des
enfants, flottants et emportés à tout vent de doctrine, par la tromperie
des hommes, par leur ruse dans les moyens de séduction, mais que,
professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en
celui qui est le chef, Christ. Ephésiens 4.14
Le Seigneur Jésus-Christ, puis ses
apôtres, ont prévenus et mis en garde contre les fausses doctrines,
appelées parfois "doctrines de démons".
En général les faux docteurs se
présentent avec une apparence de vérité afin de séduire les gens pour
mieux inoculer le poison de leurs faux enseignements. Nous devons les
discerner, les combattre et nous en éloigner.
Surtout ne me parlez pas d'amour et de tolérance ! L'amour sans la
vérité c'est de l'hypocrisie, à la rigueur un sentimentalisme borné !
A la loi et au témoignage! Si l’on ne
parle pas ainsi, Il n’y aura point d’aurore pour le peuple. Esaïe 8:20
Nous savons aussi que le Fils de Dieu
est venu, et qu’il nous a donné l’intelligence pour connaître le
Véritable; et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus-Christ.
(5-C’est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle.
Petits enfants, gardez-vous des idoles. 1 Jean 5.20
Léopold Guyot, pasteurweb
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