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Des femmes de foi
Cette semaine, je viens m'entretenir avec vous
d'exemples de guérison pour vous encourager dans la foi. Matthieu 15.21/28
Ce passage nous donne le récit d'une mère qui était triste car sa fille
était tourmentée par le démon. Elle croyait dans la puissance du Seigneur
pour la guérison. Alors elle vint vers Jésus décidée à obtenir coûte que
coûte, la délivrance de son enfant. Elle cria : "Aie pitié de moi fils de
David! Secours-moi!" Elle se prosterna devant Lui. Il ne lui répondit pas
un mot, et ses disciples s’approchèrent, et lui dirent avec instance:
"Renvoie-la, car elle crie derrière nous. Il répondit: Je n’ai été envoyé
qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël." Mais elle vint se prosterner
devant lui, disant: "Seigneur, secours-moi!" Il répondit: "Il n’est pas
bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens.
Oui, Seigneur, dit-elle, mais les petits chiens mangent les miettes qui
tombent de la table de leurs maîtres." Alors Jésus lui dit: "Femme, ta foi
est grande; qu’il te soit fait comme tu veux." Et, à l’heure même, sa
fille fut guérie.
Nous voyons là l'insistance d'une femme qui malgré son
origine étrangère, sans tenir compte des gens qui étaient autour, ne
voyait que Jésus et avait mis toute sa confiance en Lui, elle était
déterminée.
Matthieu 9:20-22 "Et voici, une femme atteinte
d’une perte de sang depuis douze ans s’approcha par derrière, et toucha le
bord de son vêtement. Car elle disait en elle-même: Si je puis seulement
toucher son vêtement, je serai guérie. Jésus se retourna, et dit, en la
voyant: Prends courage, ma fille, ta foi t’a guérie. Et cette femme fut
guérie à l’heure même."
Là nous avons un autre exemple d'une femme qui avait
une grande foi. Être malade depuis tant d'années,vu de nombreux médecins,
subi des traitements douloureux et toujours sans résultat, nous pouvons
imaginer son découragement, sa souffrance. Nous pouvons aussi comprendre
l'effort qu'elle a du faire pour s'approcher du Seigneur, malgré sa
faiblesse et la foule qui entourait Jésus. C'est aussi ça la foi!
Luc 13:10/17 : Jésus enseignait dans une synagogue le
jour du sabbat. Vint une femme possédée d’un esprit qui la rendait infirme
depuis 18 ans courbée. Ce n’était certes pas facile pour elle, remplir ses
tâches quotidiennes, supporter le regard des autres, les railleries, les
réflexions blessantes peut-être ? Certainement une souffrance morale et
physique pendant tant d’années. Cependant, elle conservait sa foi en Dieu,
se rendant fidèlement a la synagogue. C’était une fille d’Abraham.
Lorsqu’il la vit; Jésus lui adressa la parole et lui dit : "femme tu es
délivrée de ton infirmité et lui imposa les mains à l’ instant elle fut
guérie."
On peut imaginer sa joie, lorsqu’elle s’est redressée,
se mettre droite comme tout le monde, enfin ! vivre comme les autres,
vaquer à ses occupations normalement. La Parole nous dit qu’elle glorifia
Dieu et la foule qui était là s’est réjouie avec elle. Même si le
comportement de Jésus offusque les chefs religieux, ce qui est important
c’est la manifestation de la compassion et de la puissance de Dieu qui
nous délivre des chaînes du diable. Jésus est le même hier, aujourd’hui,
et éternellement. Hébreux 13: 8. Voici un témoignage que mon mari et moi
avons vécu il y a quelque temps.
Il était environ vingt deux heures, un pasteur gitan
qui est ami nous téléphone, demandant si cela ne nous déragerait pas de
nous joindre à lui pour prier et imposer les mains à une femme qui venait
d ’être ramenée dans sa caravane. Elle était condamnée par la médecine,
elle se mourait d'un cancer généralisé en phase terminale. C’était le
désarroi : pleurs du mari, des enfants ... Arrivés sur le terrain où
campait cette famille, le pasteur nous attendait et me dit : "Yvonne je
préfère que tu restes prier dans la voiture car la situation est trop
triste." C’est ce que j’ai fais, je me suis mise en prière et de là ou
j’étais j’entendais les prières qui montaient jusqu’au trône de la grâce,
un moment donné j’ai senti la présence du Saint -Esprit qui passait sur
moi, dans la voiture et dans la caravane. Ce temps a été long et en même
temps court, je ne saurais le dire, je pleurais, je frissonnais, c’était
très fort.
Lorsque mon mari et le pasteur ont ouvert la porte,
c’était des louanges, des Alléluia ! Le Seigneur avait exaucé nos prières,
la femme s’est mise debout et avait faim. Gloire au Seigneur pour sa
fidélité pour sa compassion. Un autre exemple de la bonté de Dieu :
Une jeune femme enceinte de six mois passe
l’échographie, c'était une petite fille, mais il y avait une malformation
et l’un des reins s’était recroquevillé et avait cessé de grandir. Le
médecin dit à la maman que ce rein était ((mort)) et ne fonctionnerait
jamais, mais il l’avait rassurée: avec un rein elle pourrait vivre. Cette
déclaration n’apporta cependant aucune consolation à la maman qui
éprouvait une angoisse profonde pour l’avenir de son bébé. Comme elle
était croyante, elle en a fait part à son église, et toute sa famille
spirituelle a intercédé auprès de Dieu. La visite suivante les deux reins
étaient sains et normaux. La petite fille naquit trois mois plus tard en
parfaite santé. A Lui toute la gloire!
Je rappelle ci-dessous le témoignage des guérisons que
le Seigneur m'a accordées : je souffrais d’une mycose sur les deux pieds,
je ne pouvais plus me chausser, tellement c’était douloureux et aussi à
cause des plaies qui suppuraient. Nous apprîmes qu’une convention
des gitans évangéliques se tenait à Donges en Loire-Atlantique, pendant
trois jours et nous avons décidé de nous y rendre. Il y avait environ
15000 personnes. C’était très impressionnant de voir tous ces gens prier
et louer Dieu. Une des soirées était réservée à la prière pour les
malades. Je n’avais jamais assisté à ce genre de réunion.
J’étais là, au milieu de cette foule qui me paraissait
tellement simple, humble et confiante. Les gens s’avançaient en
silence et avec respect, pour recevoir l’imposition des mains. Je me
sentais un peu perdue, étonnée et surprise, me demandant que faire. Une
petite voix intérieure me disait « Va, va !» et j’ai obéi, j’y suis allée,
sans trop savoir, avec un peu de crainte, me demandant ce qui allait se
passer. La réunion prit fin et nous sommes rentrés chez nous. Déjà,
pendant le trajet du retour mes pieds étaient moins douloureux. Trois
jours après j’étais complètement guérie.
C’était pour moi la preuve évidente que Dieu est bien
vivant et qu’il guérit encore aujourd’hui. A la suite de cette guérison,
j’ai recherché encore plus le Seigneur en lisant sa Parole et en
participant régulièrement aux réunions évangéliques. J’avais soif de le
connaître toujours plus. Deux mois après, au cours d’une autre réunion,
j’ai été guérie d’une fracture au pied gauche que je m’étais faite à l’âge
de 9 ans et qui ne s’était jamais bien réparée. L’os ressortait au dessus
du pied et me faisait parfois terriblement souffrir. Ce jour là , 36 ans
après, Dieu me guérissait lors de l’imposition de mains d’un de ses
serviteurs. Gloire au Dieu tout-puissant. Le Seigneur m’a guérie de
nombreuses fois et ma belle-mère, qui est une chrétienne évangélique
fidèle, me disait avec malice : «Vous êtes une chouchou du Seigneur,
Yvonne ». Mais nous le savons, Dieu ne fait pas de favoritisme. (Actes
10.3) Un dimanche matin avant de partir au culte, je fus prise d’une
violente douleur dans le genou. Cela ne m’empêcha pas de m’y rendre. Le
pasteur et les frères et sœurs ont prié afin que la douleur s’en aille et
elle est partie aussitôt. J'espère que tout ces témoignages vous auront
fait du bien et qu'au travers de cette lecture, vous aurez vu la
compassion, la fidélité de notre Dieu.
Vie de femme chrétienne
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